LE FROMAGE EST IL BON POUR NOTRE AGE?

 

Fromages et autres laitages sont souvent préconisés dans la lutte contre l’ostéoporose.

Rappelons que l’ostéoporose est une pathologie de fragilité osseuse qui survient principalement après la ménopause.

Source indiscutable de calcium, les laitages seraient indispensables pour assurer  la solidité osseuse.

Un sujet qui fâche : le lait de vache !

 

Mais leur consommation est plus que controversée. Ce sujet suscite encore beaucoup de polémiques en France, y compris chez les professionnels de santé.

Nous avons toute entendu les publicités à la télévision qui nous ont bercé pendant des années et encore aujourd’hui avec leurs messages sur les produits laitiers « bons pour la santé » et la consolidation de nos os.

Pourtant, les naturopathes nous mettent en garde. De nombreux spécialistes, scientifiques, médecins, journalistes élèvent le ton.

Le Dr Jean SEIGNALET, dans son ouvrage « L’alimentation ou la troisième médecine » expliquait déjà pourquoi il faut se passer du lait.

Le Dr Nicolas Le BERRE, dans le titre de son livre « Le lait, une sacrée vacherie ? » énonce cette phrase sous forme d’interrogation et y répond affirmativement.

Les titres des livres de Thierry Souccar  parlent d’eux-mêmes : « Lait, mensonges et propagandes » et « Le mythe de l’ostéoporose ».

La bionutritionniste Marion Kaplan, élève de la célèbre Dr Kousmine, et auteur d’une quinzaine d’ouvrages sur l’alimentation, sonne l’alarme depuis de nombreuses années.

Julien Venesson dans « Paléonutrition » démontre, analyse et explique de façon particulièrement documentée et référencée les risques de consommation des produits laitiers.

Dans les pays anglo-saxons, le professeur Walter Willet (directeur du département de nutrition de l’École de santé publique de l’Université de Harvard) dénonce l’irresponsabilité de faire la promotion des laitages.

Voici un sujet qui fait aussi débat dans le milieu cétogène où l’on trouve de nombreuses recettes utilisant le fromage alors que des auteurs défendent l’inverse.

Quand les traditions n’ont pas que du bon.

 

Et puis  évoquer les bienfaits ou non des  produits laitiers c’est aussi se heurter à notre bonne vieille tradition culinaire française qui ne serait (presque ) rien sans le fromage !

Moi aussi j’aimerais tant vous dire que oui !…on peut consommer le fromage à gogo …car j’aime la petite touche de comté sur une tarte aux légumes, et le petit morceau de camembert qui vient accompagner ma salade et, oui… je sais que c’est « une tuerie » avec un bon petit verre de vin !

Malheureusement ces produits sont plus que suspectés pour notre santé.

Comment s’y retrouver dans ces recommandations contradictoires ?

Tout d’abord sachons que ce sujet engage une polémique qui cache des intérêts de…l’industrie laitière !

Si votre ramage se rapporte à votre plumage !…

 

Le groupe d’experts français responsable des recommandations est constitué de 33 experts dont 26 ont des liens directs ou anciens avec l’industrie agroalimentaire (Nestlé, Danone, CNIEL, etc.) et/ou l’industrie pharmaceutique (Servier, Pfizer, Merk, etc.).

Entre mensonges et propagande difficile d’évaluer nos réels besoins notamment en calcium. Une véritable guerre est déclarée pour… un pot de yaourt en plus ou en moins par jour !

Cet enjeu n’a rien d’anodin. » Cette différence correspond en France à plus de deux milliards de litres de lait par an pour le profit des producteurs et transformateurs laitiers » (Inra)

L’industrie du lait en France représente environ 30 milliards d’euros de chiffre d’affaires en France et plus de 250 000 emplois (Source : Filière laitière).

Autant dire qu’il s’agit là d’un véritable mastodonte de l’économie française.

Face à ces études biaisées, il est important de garder un principe de précaution et de s’informer par soi-même. C’est ce que je fais depuis de nombreuses années, en particulier sur ce sujet épineux, et que je vais vous résumer ici.

Le lait, pourquoi est-il « vachement » mauvais ?

 

Comme pour la viande les excès et les modes de production ont rendu les produits laitiers très nocifs.

Une surconsommation alarmante

 

 

Selon Marion Kaplan, la consommation de lait de vache ne serait pas indispensable pour être en bonne santé, loin de là. Selon elle, «on nous fait croire que le lait est indispensable alors quon sen est passé pendant très longtemps. Cela ne fait que trois ou quatre générations que l’on consomme autant de lait».

De nombreuses études scientifiques indépendantes, menées du Japon aux États Unis en passant par l’Europe, ont mis en évidence l’incidence d’une consommation excessive de laitages de vache (3 par jour tout au long de sa vie c’est une surconsommation !) sur le diabète, l’obésité et certains cancers comme celui du sein, de la prostate et du côlon.

Une production douteuse

 

 

Une vache est vidée de tout son lait dans une traite intensive et ce processus recommencera pendant environ 7ans (espérance de vie d’une vache laitière). D’ailleurs les vaches « laitières » cela n’existe pas à l’état naturel des choses, toutes les vaches donnent du lait pour leur veau.

La vache « laitière » a été « créée » par l’homme. Sachant que l’espérance de vie d’une vache « normale » est de 25 / 30 ans.

Par ailleurs ces vaches sont sujettes à de  nombreuses infections, si bien que l’on utilise des antibiotiques en quantité pour maitriser ces infections. Les taux d’antibiotiques dans le lait sont 100 fois plus élevés qu’il y a 25 ans et les autorités sanitaires se sont contentées d’élever les normes limites autorisées.

Les produits laitiers ne sont pas  « nos amis pour la vie » !

 

 

La consommation de lait reste problématique pour la santé et cela pour différentes raisons physiologiques.

Le lait n’est pas digeste

 

Nous ne sommes pas constitués pour boire du lait de vache. Chaque mammifère produit du lait en fonction des besoins de son bébé. Le lait de vache est prévu pour répondre aux besoins du veau. De même, aucune autre espèce animale ne consomme de lait après sevrage.

En France 70% de la population ne digère pas le lait. Ce qui est normal.

Au-delà de l’âge de 4 ans, la lactase, l’enzyme qui nous permet, bébé, de synthétiser le lactose, cesse son activité. La digestion du lait provoque de la fermentation et des toxines qui affectent le système nerveux, le foie, le système cardio-vasculaire mais aussi les muscles.

Le lait est allergène et inflammatoire

 

L’allergie au lait de vache, à ne pas confondre avec l’intolérance au lactose, est due à la présence de protéines dont la plus allergisante est la caséine.

La caséine est une protéine étrangère à l’organisme, que celui-ci doit neutraliser en fabriquant des anticorps.

La réaction immunitaire qui s’ensuit provoque la sécrétion d’histamine. Or, libérée trop souvent et en trop grande quantité, l’histamine engendre une intense production de mucus, voire de pus, et surtout des inflammations (sinusites, otites, bronchites, maladies en ite…).

Elle provoque aussi des rougeurs et des démangeaisons, des maux de tête et des vertiges, des difficultés respiratoires, des ballonnements, des diarrhées, nausées et douleurs abdominales.

La caséine serait aussi suspectée de provoquer de l’arthrite rhumatoïde.

Cette protéine est également responsable de l’activation et du développement de nombreux cancers comme l’illustre parfaitement le Dr Campbell dans son ouvrage « l’enquête Campbell ».

Ce facteur inflammatoire provient aussi des techniques d’élevage moderne. A défaut d’être nourri à l’herbe si riche en Oméga-3 on impose aux vaches des graines bourrées d’Oméga-6 qui contaminent leur lait.

Le lait est insulinique

 

Les produits laitiers sont insuliniques. En phase d’adaptation d’une diète cétogène, ils sont à éviter sous peine de ne jamais se céto-adapter. Sans parler de régime cétogène il est toutefois utile de  connaitre cette information quand on connait les effets de l’insuline à la ménopause (voir article « Vos deux pires ennemis à la ménopause »)

Le lait perturbe nos hormones

 

Inséminées artificiellement, les vaches ont un lait qui contient un niveau élevé d’hormones femelles (œstrogènes et progestérone) mais aussi d’hormone de croissance appelée IGK-1.

Or, ces hormones représentent un véritable danger.

Lait et ménopause : une mauvaise alliance

 

Notre organisme produit ce dont il a besoin pour réguler le fragile équilibre de nos hormones en particulier l’œstradiol et les œstrogènes. Le lait contient beaucoup d’œstrogènes. Or on sait que tous les cancers hormonodépendants comme le cancer du sein, le cancer de la prostate, le cancer des ovaires ou le cancer du col de l’utérus, croissent d’autant plus vite que les niveaux d’estrogènes sont élevés. Pour traiter les cancers hormonodépendants, on utilise d’ailleurs des substances que bloquent les récepteurs aux estrogènes.

L’hormone de croissance nourrit également  la flore pathogène (surtout le candida albicans). Le candida perturbe les fonctions hormonales. A surveiller de près donc en période de ménopause !

Le lait à la ménopause très fâcheux pour…nos os !

 

Nous devons comprendre que l’os dégénère et se régénère toute la vie. Tous les dix ans le squelette est complètement régénéré !

Les ostéoclastes sont des cellules  chargées de détruire le vieil os. A l’inverse, les ostéoblastes bâtissent le nouvel os. Mais le stock de ces dernières est limité.

Or ; plus on consomme de produits laitiers riches en hormones, plus on stimule ces agents d’élimination et de régénération, car l’IGF-1 stimule la prolifération des ostéoblastes.

Si on a consommé beaucoup de produits laitiers dans la première partie de notre vie, on risque d’avoir épuisé nos fameux stocks d’ostéoblastes. Arrivé à la ménopause la chute des œstrogènes va nécessiter d’activer le remodelage osseux. Mais si le stock est amoindri ce processus ne pourra se produire efficacement.

Le lait est acidifiant

 

L’acidité est un principe de naturopathie dont je vous parle plus précisément  dans « Vieillir malin, vieillir alcalin »

Lorsque l’on consomme une alimentation trop acide qui n’est pas suffisamment contrebalancée par une source alcaline (légumes) le corps va pomper dans les réserves. Il va précisément chercher des sels alcalins dans les os qui sont la réserve la  plus alcaline de notre corps.

Nous touchons ici à un paradoxe de taille !

Au lieu de renforcer les os, le lait de vache produit l’effet inverse !

Plus on consomme de produits laitiers et plus nos os sont fragilisés  et plus on augmente le risque de souffrir de l’ostéoporose.

Le lait est responsable de nombreuses maladies

 

La liste des différentes maladies recensées pour lesquelles la consommation de lait de vache serait le principal responsable est longue. Nous en avons déjà énuméré un certain nombre. Viennent s’ajouter les ulcères, la fatigue chronique et le diabète.

Cet aliment serait à l’origine de plusieurs types de cancers : prostate, pancréas, côlon, estomac, etc.

Et le calcium alors ?

 

La peur la plus répandue concernant l’arrêt des produits laitiers est la peur d’une carence en calcium. Cette préoccupation est normale en particulier à la ménopause où l’on s’inquiète pour conserver de bons os.

La première question à se poser est de savoir de quelle quantité de calcium a-t-on réellement besoin ?

Des besoins en calcium surévalués

 

Il semblerait que les besoins aient été largement surévalués et impossibles à couvrir sans…la consommation de produits laitiers ! (comme c’est étrange ?!)

A croire que l’homme préhistorique (qui ne consommait pas ces aliments) devait alors souffrir de déficit chronique en calcium ! Passé la cinquantaine il devait être sujet à des fractures et peut être obligé de courir en déambulateur dans la savane derrière les animaux qu’il chassait !

Soyons sérieux ! Jamais l’être humain n’a été habitué à avaler de grandes quantités de calcium au cours de son évolution.

D’ailleurs, des études épidémiologiques ont souligné que les Occidentaux avaient plus de fractures que les Asiatiques, dont les apports calciques sont pourtant moindres.

Ce sont les pays d’Europe qui ont les taux d’ostéoporose les plus élevés au monde alors que nous consommons le plus de produits laitiers. En Asie, les taux sont les plus bas sans consommer de lait.

Le constat est étonnant car l’ostéoporose, est révélatrice d’un manque de calcium dans l’alimentation. Or nous sommes ceux qui ont le plus de problèmes malgré notre consommation régulière de produits laitiers.

La question est alors de comprendre de phénomène.

Une histoire de minéraux.

 

Il semblerait que le calcium diminue l’absorption des autres minéraux notamment le magnésium.

Des chercheurs ont démontré que cela pouvait influencer les risques cardiaques. C’est le déséquilibre de ce rapport entre le calcium et le magnésium qui serait responsable de problèmes rénaux, de cancers et sans doute de maladies dégénératives comme la maladie de Parkinson.

Décalcification ou déminéralisation ?

 

En réalité les os ne contiennent pas seulement du calcium mais aussi d’autres minéraux.

Le problème ne vient pas donc pas tant de la décalcification mais de la déminéralisation.

Les études montrent que des personnes sédentaires qui ont une alimentation carencée en potassium, zinc, vitamine C, D et A  présentent des risques de déminéralisation.

Il est intéressant de savoir qu’un apport en vitamine D améliore l’absorption intestinale du calcium et diminue son excrétion au niveau de reins. De plus, une alimentation pauvre en végétaux augmente les besoins de calcium.

Les experts de l’OMS (indépendamment de tout lobby) ont déterminé en moyenne que l’équilibre parfait entre l’absorption et l’excrétion du calcium serait situé autour de 500 mg de calcium par jour pour un homme adulte.

Manger plus de végétaux et éviter les déficits en vitamine D seraient donc un conseil bien plus profitable que de se gaver de produits laitiers !

Justement voyons plus en détail où trouver de bonnes sources de calcium

Ou trouver du calcium ?

 

 

Il existe bien d’autres sources de calcium d’aussi bonne qualité si ce n’est meilleur que le lait.

Les légumes et notamment les crucifères (type brocolis), les épinards (168 mg pour 100 gr) , les salades renferment 40 à 200 mg de calcium pour 100g, le persil (200 mg pour 100 gr). Les condiments comme les oignons, également mais aussi les eaux minérales (type Hépar*) , certains poissons comme les sardines (400 mg pour 100 gr surtout si on mange les arêtes). Le thym et la cannelle en contiennent 1000 à 1200 gr pour 100 gr.

*J’émets une réserve sur le calcium présent dans les eaux minérales. Il semblerait  que ce ne soit pas une bonne source. Étant  un calcium inorganique, nous ne sommes pas faits pour l’assimiler.

Vous constaterez que nous ne pouvons être carencées grâce à la consommation de calcium végétal bien mieux assimilé que celui du fromage.

Vous n’avez pas donc besoin de consommer trois produits laitiers par jour. Une fois de plus faites confiance à ce que la nature nous offre et profitez de ces bienfaits.

Comment se passer des produits laitiers ?

 

Entendons-nous bien il ne s’agit pas de s’interdire à jamais les fromages.

Considérons les produits laitiers comme des aliments « plaisir » et non plus comme des aliments « santé »

Occasionnellement cela ne vous fera pas de mal de vous offrir ce petit plaisir. Comme toujours c’est l’excès et la fréquence qui sont problématiques.

Sachez que les produits laitiers sont très addictifs et que moins vous en mangerez moins vous en aurez envie. Réduisez les quantités progressivement.

Pour les accros : faites votre tri

 

Si vous souhaitez en consommer, limitez-vous à un produit occasionnellement et faites votre tri.

Les produits laitiers riches en caséines sont : le lait, le fromage blanc, le cottage cheese, brousse, les fromages maigres à pâte dure.

Les fromages très gras sont un moindre mal puisqu’ils contiennent moins de caséine que les autres. D’où leur consommation (qui devrait être aussi occasionnelle) en diète cétogène.

Parmi les moins riches en caséine on trouve: la crème, le mascarpone, le fromage à la crème, les fromages très gras ( Brilla-Savarin par exemple)

Pensez aussi que les fromages contiennent entre 20 et 25 gr de protéines pour 100g . Cette donnée est à prendre en considération pour adapter vos menus et ne pas dépasser votre quota (voir article « Les protéines quel dosage avec l’âge ? »)

Que penser des produits laitiers provenant de la brebis, de la chèvre ou de la bufflonne ?

 

Il existe deux variantes génétiques de caséines : la A1 et la A2.

On considère que la forme A2 était la forme originelle avant sa mutation dans les troupeaux européens il y a 5000-10000 ans. Dans le lait humain, on trouve la forme A2.

Le lait des vaches d’Europe du nord a muté et contient la caséine A1. C’est celle qui génère une réponse immunitaire du pancréas et donc de l’inflammation.

Les produits laitiers provenant de la brebis, de la chèvre contiennent la A2., donc une caséine moins néfaste. A consommer avec beaucoup de  modération tout de même, vous l’aurez compris.

Exception à la règle :

 

Le beurre et le ghee ne contiennent que de faibles traces de caséine. Je vois que je vous fais plaisir subitement ! Si vous souhaitez être définitivement rassurée, rendez-vous  sur l’article « Manger gras pour perdre du gras »

Trouver des alternatives :

 

Il existe aussi des laits végétaux comme le lait d’amande, de noisette, de soja, etc. Vous pouvez en trouver dans les rayons bio des supermarchés (vérifier qu’il n’y a pas de sucres ajoutés…)

Ma préférence va au lait de coco. Très riche en vitamines et minéraux, le lait de coco présente de nombreux bienfaits sur la santé. Il a notamment l’avantage de renforcer les os et le système immunitaire. Il peut aussi protéger la peau et les cheveux.

Écouter votre corps ou Nestlé ?

 

Au-delà des preuves scientifiques et des grands débats votre corps restera votre meilleur repère.

Apprendre à écouter son corps, faire les liens entre ce que vous mangez et comment vous vous portez est ce que reste le plus fiable.

Non seulement vous n’aurez pas de carence en calcium si vous consommez moins de produits laitiers mais aussi vous constaterez probablement que vous digérerez  mieux et peut-être même aurez-vous plus de vitalité.

De nombreuses personnes ayant arrêté de manger des produits laitiers ont constaté très rapidement un ventre moins gonflé, moins de douleur au ventre, de l’acné disparu et une peau beaucoup plus nette.

Pour ma part je ressens toujours des débuts d’infection urinaire dès que j’en consomme trop régulièrement. J’ai remarqué aussi une moins bonne récupération à l’effort.

Faites vos expériences et donnez plus de chance à votre santé et à votre corps

Vous n’avez pas besoin de lait alors pourquoi prendre ce risque ?

Vos hormones ou Danone ?

A la ménopause nous devons préserver l’équilibre fragile de nos hormones. Vous avez désormais toute l’information utile pour faire vos choix.

Que préférez-vous ? Vos hormones ou Danone ?

4 Comments
  • francoise Girod
    Posted at 10:29h, 28 février Répondre

    Super article !!! Bravo très complet. Je vois 1 naturopathe à Lyon depuis 3 mois. J’étais au bout de ma vie i(ntestins et arthrose des mains) plus de lactose et gluten j’ai 1 traitement p intestins qui fuient…. depuis je revis
    Inscrite depuis peu sur votre page j’adore, Vous habitez Briançon nous sommes tombes amoureux de Nevache depuis 10 ans. J’espère que nous pourrons y monter dans 15 jours. Quelle merveille cette région.
    Portez vous bien amitiés
    Françoise Girod
    68 ans

    • Carole
      Posted at 09:17h, 01 mars Répondre

      Bonjour Françoise! Grand merci pour ton témoignage qui vient parfaitement abonder dans le sens de mes arguments. Tu dois te sentir revivre effectivement! ça me fait très plaisir que les articles t’intéressent. Ah! Névache… la vallée de la Clarée!…la plus belle vallée du monde! Génial si tu viens dans la région! De magnifiques balades en perspective! Profites en à fond! Bien à toi Carole

  • Claire
    Posted at 11:20h, 28 février Répondre

    Merci Carole pour cet article très intéressant! Je ne consomme plus de lait depuis des années et je m’en porte mieux! Des inflammations installées depuis longtemps ont complètement disparu. De temps à autre, je me régale de fromage frais de brebis ou de chèvre. Tout est question de dosage, comme tu le dis! J’ignorais que la cannelle contenait du calcium, alors vive les thés à la cannelle pour nous réchauffer le corps et l’esprit!😉

    • Carole
      Posted at 09:25h, 01 mars Répondre

      Merci pour ton témoignage Claire. C’est incroyable ce que le lait provoque comme dégâts! Beaucoup de personnes ne font pas le lien entre leur consommation de produits laitiers et leur pathologie. Les témoignages comme le tien (et celui de Françoise) sont précieux car vous démontrez nettement l’une comme l’autre des améliorations flagrantes. La cannelle est un condiment qui apporte non seulement du calcium mais fait aussi baisser la glycémie. (Tiens je pourrai faire un article dessus!) Alors ce sera un tea time plaisir et santé!!

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